Au Sénégal, c’est la lutte permanente pour le maintien du foyer. Les femmes sont celles qui ont un arsenal fourni, mais les hommes ne sont également pas en reste. Découvrez dans les lignes qui suivront, quelques secrets sexo made in Sénégal à tester !
Des produits pour être toujours prêts
Écorces et racines, coup démarreur ou poudre Takadari du Niger, sirop Bazooka du Nigeria, Ajanta’s Stamina de l’Inde, Yang Chun (100 % naturel)… Autant de produits sont utilisés par les Sénégalais. Ces produits permettent de lutter contre le dysfonctionnement sexuel. Ils sont, en effet, utilisés pour éviter de se taper la honte une fois les portes de la chambre fermées. Pour des sénégalaises avident de produits pour des nuits brûlantes, les hommes ne peuvent que lutter de leur côté pour ne pas perdre la face.
S’en suit la consommation de produits pour l’endurance, de pour ne pas bander mou ou encore pour ressentir du désir ; et répondre avec autant de fougue aux assauts des partenaires. En majorité polygames, ils n’ont que ça pour assurer et à tous les niveaux. Parce que même si l’islam recommande la soumission et l’humilité aux femmes; cela ne stoppe pas les ragots et une rumeur d’impuissance ça part comme une traînée de poudre !
Séduction, toujours donner l’envie !
Les sénégalaises sont connues pour être des séductrices. Et dans le foyer, elles n’y vont pas de la main morte. Les chambres sont apprêtées et parfumées pour le combat. Il ne s’agit pas seulement de se débarrasser des mauvaises odeurs ; mais d’utiliser des encens et parfums qui favorisent le désir sexuel. Les hommes comme les femmes en sont friands. Dans les marchés, les boutiques d’encens offrent un choix immense. Les encens à l’odeur la plus forte et la plus lourde, les plus efficaces pour susciter le désir, sont réservés à l’usage intime. Les femmes ont dans leurs placards de véritables collections. Les noms sont évocateurs et se renouvellent constamment : Nemmali (achever de tuer), Doggali (fermer les yeux du défunt), Ser Bou Tass (pagne défait), Dadjima (enfonce-moi), Kumay Teul (fais-moi rebondir), Naif (cravacher), Tojj Xuur (écrase couilles), Sauce u Kani (sauce pimentée), etc
Aussi les sénégalais sont très préliminaires. La préparation à une nuit d’amour commence depuis le matin. Ainsi, le couple s’amuse à faire monter la température au fil des heures, jusqu’à la rencontre au soir. L’homme est en feu, la femme aussi. Mais même là, il y a tout un protocole. C’est un jeu qui peut être court ou long mais qui permet de s’assurer que le moment venu aucun partenaire ne fasse de quartier.
En face des ceintures de hanche aux messages explicites, en français – « je t’aime », « baise-moi », « mon cœur », « pénètre-moi », « papa chéri » – ou en wolof – « kat ma » (baise-moi), « ya saf badio » (ton vagin est savoureux), etc. ; la réponse est assurément un membre dégourdi et endurant.